KISS ARENES DE NIMES JUILLET 2022
Mardi 5 Juillet , direction les intemporelles Arènes Nîmoises pour l' ultime concert de Kiss en France après l' incroyable show Parisien ( 7 Juin ) . Pour une fois on joue presque à domicile . Arrivée à Nîmes 45 minutes plus tard sous un soleil de plomb . Peu de monde le matin devant l' imposant et anachronique amphithéâtre avant l' arrivée progressive de la Kiss Army World . Après-midi hyper peinard parsemé de rencontres conviviales avec des fans motivés et heureux de voir Kiss dans les arènes . Je lorgne sur le stand de Merchandising pour l' acquisition du magnifique Tour Book introuvable sur les deux autres dates Françaises ( Merci Domi ! ) . Petite interview vidéo devant les Arènes ( LE PAT – Thierry & Sylvain ) pour la chaine “ Objectif Gard ” ( à voir en ligne ) puis mise en place devant les barrières avec les moyens du bord ( quelques bâches et un peu d' eau ).
19 heures , on est dans les “ starting-blocks ” . Ouverture des portes = C' est parti pour le sprint Final ! Course interminable et positionnement immédiat devant la scène : Second rang ! Reste plus qu' à attendre ... 20 heures , c' est le début de la première partie , c' est la ravissante chanteuse canadienne JJ WILDE qui s' y colle . Peu de cohésion , sons de guitares abominables qui couvrent le chant sans parler du son particulièrement désagréable de l' énervant bassiste = A oublier ! Fin de la première partie , mise en place de l' habituel étendard Noir de Kiss . L' adrénaline monte en attente de l' éternel slogan : " You want the best You got the best , The hottest band in the World – KISS " !!!
Le rideau s' écroule et c' est l' invasion des extraterrestres ! Le son est parfait , Gene – Paul – Eric et Tommy plus complices que jamais sont en approche de la planète terre au milieu des bombes, explosions et fumigènes en tout genre . On notera l' absence de tyrolienne pour Paul Stanley et des habituelles plateformes ( soucoupes volantes ) ce qui n' empêchera pas le groupe d' être hyper performant . Comment s' imaginer que l' on est face à des gars qui ont plus de 70 piges ?! La chanson “ Detroit Rock City ” met tout le monde d' accord , le public semble unanime = Dément ! Les larmes coulent car la fin est proche mais nous sommes au tout début du concert alors n' en perdons pas une miette et vivons l' instant présent !
Les titres s' enchainent sous les yeux ébahis d' un public conquis : “ Shout it out loud ” - “ Deuce ” - War Machine “ - ” Heaven's on fire “ - ” I love it loud " - “ Say Yeah ” - “ Cold Gin ” ( Tommy Thayer de plus en plus en confiance ) - “ Lick It Up ” - “ Calling Doctor Love ” - ” Tears Are Falling “ - ” Psycho Circus " - “ God Of Thunder ” ( Avec l' habituelle hémoglobine au dessert de ce menu cinq étoiles ) - " I Was Made For Lovin' You " ( Le Hit Inter Planétaire ) - “ Black Diamond ” - “ Beth ” ( Eric Singer au piano ) - “ Do You Love Me ” puis “ Rock And Roll All Nite ” le morceau final ou Paul Stanley massacrera une énième guitare sous une pluie de confettis digne du carnaval de Rio = MAGISTAL ! Fin du concert , les lumières se rallument , un sentiment de joie et de tristesse nous envahis , un curieux paradoxe ... Retour dans le monde réel et rassemblement entre fans dans une ambiance sereine et conviviale. Un grand merci à Quentin pour m' avoir adorablement offert la mousse de micro de Gene Simmons !
Rédaction – LE PAT - Remerciements : Dominique Daudé - Quentin Mcbrain – Objectif Gard